Accompagnement des dirigeants pour ce groupe de presse : échanges sur la stratégie pour les années à venir, la politique digitale, les investissements à envisager, la montée en compétence des collaborateurs. Dépôt d'un dossier FSDP...
Dans la presse, on aime bien dire que l’histoire se répète. Mais cette fois, elle s’écrit en langage machine. Après des années à se demander si l’intelligence artificielle allait siphonner leurs contenus, les grands médias tentent de trouver la parade : faire payer les géants de la tech pour accéder à leurs articles. Une forme de retournement de situation dont la presse n’a pas toujours eu le secret… mais qui, pour une fois, joue en sa faveur. Le dernier exemple en date : Met
Le Fonds stratégique pour le développement de la presse (FSDP), c’est un peu comme le Père Noël : on sait qu’il existe, qu’il peut être très généreux, mais on ne sait jamais vraiment quand il va passer. Et depuis quelques mois, autant dire que sa hotte fait débat. Entre crédits épuisés, dépôts suspendus et incertitudes budgétaires, les éditeurs cherchent tous à savoir quand leurs projets pourront enfin être financés. Petit point d’étape, simple, net et j'espère utile. Accès
Le Gouvernement serre la vis. Objectif : gratter des millions d’euros partout où c’est possible. Et cette fois, les médias n’échappent pas au coup de rabot. Le projet de loi de finances 2026 prévoit une baisse des crédits du programme Presse et médias de 6,06 % . Autrement dit, les aides directes à la presse, déjà fragiles, vont encore reculer. Des aides en repli sur tous les fronts Les aides à la presse chutent de 187,35 à 176,45 millions d’euros , soit –5,8 %. Les différen